1 M-202 M
Archives départementales de la Marne
Autres Cotes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Importance matérielle
Caractéristiques physiques
Localisation physique
Histoire de la conservation
Le présent répertoire numérique est le deuxième instrument de ce genre intéressant les Archives départementales de la Marne (Le répertoire numérique de la série V a été publié en 1911). Sa préparation n'a guère pu commencer utilement que du jour de la mise en service de l'annexe édifiée en 1928. C'est alors que l'ancien dépôt, dont la construction remonte à 1866, put être décongestionné et allégé des séries M, T, U et V. L'opération a rompu, il est vrai, l'ordre de succession réglementaire des séries, mais elle a, par contre, permis le regroupement dans le nouvel immeuble des quatre éléments ci-dessus et notamment de celui qui constitue l'importante série M, et la compensation est appréciable. Les Archives départementales ne disposèrent donc, avant 1866, d'aucun local spécial. Elles furent, jusqu'à cette date, entassées dans les combles de l'ancienne Intendance de Champagne, devenue l'hôtel de la Préfecture. C'étaient de vastes greniers mal aérés et où le jour ne pénétrait que difficilement. On devine la tâche qui incomba, dans ces conditions, aux premiers archivistes départementaux. Pendant de longues années aucun travail définitif ne put être effectué. Aussi bien éprouve-t-on quelque étonnement en lisant les observations ou desiderata formulés le 20 novembre 1817 par le Ministre de l'Intérieur : " J'ai vu avec satisfaction, Monsieur le Préfet, par le rapport de M. le conseiller de Préfecture secrétaire général (L'ordonnance royale du 9 avril 1817 supprimant les Secrétaires généraux (sauf celui de la Seine) en avait confié les fonctions au doyen des conseillers de Préfecture ou, à son défaut, au plus ancien après lui (Cf. circulaire du Ministre de l'Intérieur du 28 avril 1817).) sur les archives de votre département, qu'elles sont bien tenues. Ce bon ordre me donne lieu de penser qu'il faudra peu de temps pour établir le classement que j'ai prescrit, s'il n'est déjà terminé. Je vous prie de m'en informer et de m'envoyer le plus tôt qu'il sera possible un inventaire sommaire des papiers anciens et nouveaux, suivant les quatre divisions (Ces quatre divisions visent : I° " les archives dont parle la proclamation du roi du 20 avril 1790 " ; 2° " celles des administrations de département jusqu'à l'établissement des Préfets " ; 3° " celles des Préfets jusqu'à la Restauration en 1814 " ; 4° " celles des Préfets depuis le gouvernement du roi ".) indiquées par ma circulaire du 28 avril". A noter encore cette autre remarque du Ministre au Préfet, en date du 21 août 1861 : " J'ai lu, dans le rapport qui vous a été adressé par M. l'archiviste, qu'il découvre souvent des documents importants et il cite, comme exemple, trois dessins récemment trouvés par lui derrière un casier. De tels faits sont regrettables ; ils indiquent que le dépôt n'est pas classé comme il convient. Votre archiviste est pourtant en fonctions depuis 1850 et de pareilles découvertes devraient être devenues impossibles ". C'était, en vérité, faire preuve d'une hâte et d'une exigence excessives. Sans doute, en 1861, des progrès sensibles avaient été réalisés, le Préfet ayant pu aménager au bénéfice des archives plusieurs pièces dans une aile récemment construite ; mais, entre temps, le dépôt s'était accru considérablement, en sorte que la situation demeurait la même. Quand, en 1866, le bâtiment construit spécialement pour les Archives départementales reçut le stock de papiers conservés dans les locaux de la Préfecture, une bonne partie de ses travées en fut garnie. Peut-être l'isolement des archives dans les greniers peu accessibles de la Préfecture les avait-il préservées des dangers de manipulations fâcheuses ou de ventes inconsidérées ! On sait, d'autre part, que ces archives ne subirent aucune perte lors des invasions de 1792 et de 1814-1815.
Informations sur le traitement
Instrument de recherche encodé par la société Fontaine et Fils Archives Service en 2011.
Cote/Cotes extrêmes
Date
Cote/Cotes extrêmes
Date
Autres Cotes
Date
Présentation du contenu
Cercle Catholique Interparoissial d'Ormes et environs (association confessionnelle), siège à Ormes (1929) ;
Société de tir scolaire "Les Enfants du Bocage" (association de préparation et de perfectionnement militaire), siège à Outines (1908) ;
Société de chasse d'Outrepont-Changy (association de chasse), siège à Outrepont (1931) ;
Société mixte de tir (association de préparation et de perfectionnement militaire), siège à Pargny-les-Reims (1893) ;
La Vaillante (association de préparation et de perfectionnement militaire), siège à Pargny-les-Reims (1903) ;
Société de trompettes "L'Éveil" (association musicale), siège à la mairie de Pargny-les-Reims (1906) ;
Fanfare Municipale (association musicale), siège à la mairie de Pargny-sur-Saulx (1857-1870) ;
Secours Mutuels des Ouvriers de MM. Gilardoni Frères (association de mutualité), siège à l'usine Gilardoni Frères à Pargny-sur-Saulx (sans date) ;
Club Sportif Pargnysien (association sportive), siège à Pargny-sur-Saulx (1913) ;
Société de gymnastique et de tir "La Renaissance" (association de préparation et de perfectionnement militaire), siège à Pargny-sur-Saulx (1920) ;
Société d'instruction militaire "l'Indépendante" (association de préparation et de perfectionnement militaire), siège à Pargny-sur-Saulx (1925) ;
Société de pêche 'l'Epinoche" (association de pêche), siège à Pargny-sur-Saulx (1923) ;
Société de pêche 'La Gaule" (association de pêche), siège au café Monnerie à Pargny-sur-Saulx (1923-1929,) ;
La Fanfare de Pargny-sur-Saulx (association musicale), siège à la mairie de Pargny-sur-Saulx (1925) ;
La Providence (association d'éducation populaire), siège rue Basse à Pargny-sur-Saulx (1925-1926) ;
Union Sportive Simonnet (association sportive (football)), siège à Pargny-sur-Saulx (1927) ;
Société de trompettes "l'Amicale" (association musicale), siège à Pargny-sur-Saulx (1929) ;
Les Amis de l'École (association scolaire), siège à l'école de Pargny-sur-Saulx (1929) ;
Société Intercommunale des Anciens Combattants (association d'anciens combattants), siège à la mairie de Passavant-en-Argonne (1931) ;
Société de tir "La Patriote" (association de préparation et de perfectionnement militaire), siège à Passy-Grigny (1910-1952) ;
Secours Mutuels (association de mutualité), siège à Passy-Grigny (1913) ;
Société Amicale des Anciens Combattants de la Guerre 14-18 (association d'anciens combattants), siège à la mairie de Passy-Grigny (1920) ;
Union Fédérale Marnaise des Anciens Combattants, Mutilés et Victimes de la guerre (association d'anciens combattants), siège à la mairie de Passy-Grigny (1925) ;
L'Union Musicale (association musicale), siège à Passy-Grigny (1925) ;
La Ruche de Passy-Grigny (association de coopérative scolaire), siège à l'école de Passy-Grigny (1938) ;
Société philarmonique "l'Alliance Musicale" (association musicale), siège à Perthes-les-Hurlus (1899) ;
Société de tir "Halte-Là" (association de préparation et de perfectionnement militaire), siège à Perthes-les-Hurlus (1913) ;
Société de tir "La Française de Pévy" (association de préparation et de perfectionnement militaire), siège à la mairie de Pévy (1922) ;
Société de Chasse (association de chasse), siège à Pévy (1922-1926) ;
L'Union Fraternelle (association musicale), siège à Pévy (1922) ;
Société de Chasse (association de chasse), siège au café Codev à Pévy (1932) ;
Société de Chasse (association de chasse), siège chez le président à Pierre-Morains (1924-1931) ;
Société de gymnastique "l'Espoir" (association sportive), siège à Pierry (1878) ;
Union Chorale (association musicale), siège à Pierry (1896-1898) ;
Secours Mutuels (association de mutualité), siège à Pierry (1909) ;
Union Sportive de Pierry-Moussy (association sportive), siège au café du Soleil à Pierry (1912) ;
l'Avant-Garde (association de préparation et de perfectionnement militaire), siège à Pierry (1912) ;
La Sentinelle (association de préparation et de perfectionnement militaire), siège à Pierry (1913) ;
La Providence de Pierry (association de bienfaisance), siège à Pierry (1922) ;
Amicale des Anciens du Patronage et de l'Avant-Garde de Pierry (association sportive), siège au 61, La Grande Rue à Pierry (1928) ;
Société de tombours et clairons "l'Amicale" (association musicale), siège chez le président à Pierry (1929) ;
Sociét de Chasse Intercommunale de Pierry et terroirs limitrophes pour la répression de la Chasse dans les Vignes (association de chasse), siège à la mairie de Pierry (1937) ;
Société Musicale (association musicale), siège à Pleurs (1895) ;
Fanfare Municipale (association musicale), siège à la mairie de Pleurs (1896) ;
Société de gymnastique "La Pleurs" (association sportive), siège à Pleurs (1896) ;
Secours Mutuels (association de mutualité), siège à Pleurs (1898) ;
Société de tir "La Patriote" (association de préparation et de perfectionnement militaire), siège à Pleurs (sans date) ;
Société Civile de Chasse (association de chasse), siège à Pleurs (1922) ;
Union Sportive (association sportive), siège à Pleurs (1927-1931) ;
Association Coopérative de Pleurs (association coopérative), siège à l'école de garçons de Pleurs (1931-1937) ;
Société de Chasse de la Ferme de l'Étang (association de chasse), siège à Pleurs (1936).
Autres données descriptives
Cette sous-série, classée par ordre alphabétique des communes où les associations ont leur siège, et, pour les villes importantes, par nature d'associations, ne vise que les autorisations et les déclarations d'associations (lois du 10 avril 1834, du 1er juillet 1901, etc.). En ce qui concerne leur fonctionnement, les subventions accordées, il, y a lieu de se reporter aux différentes sous-séries (agriculture, industrie) ou aux séries R (associations militaires), T (associations littéraires et scientifiques), et X (associations charitables).
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